Autour des palais orientaux, bioclimatiques avant la lettre

Description

Activité annulée faute de participant en nombre suffisant.

Pour lutter contre le feu du soleil, pour capter le vent avec les « tours à vent », pour exploiter la capacité rafraîchissante de l'eau qui s'évapore, les architectes iraniens privilégient un espace intermédiaire entre intérieur et extérieur, entre dedans et dehors : ils sont aussi poètes, philosophes, mathématiciens, astronomes...

Leur art n'est pas seulement la conception des volumes mais aussi la création de parois poreuses. Ils utilisent pierres, briques et céramiques, bois et leurs dérivés en combinaison avec l'eau et l'air pour faire circuler cette fraîcheur bienfaitrice.

Objectifs

Parcourir les exemples d'adaptation au climat désertique iranien depuis le jardin de Fin (1571) jusqu'aux maisons patriciennes traditionnelles des XVIIIe et XIXe siècles à Kashan via les palais d'Ispahan.